« La santé mentale est notre sport » Améliorer les connaissances en matière de santé mentale des entraîneurs sportifs dans diverses communautés du Canada

« La santé mentale, c’est notre sport »

Accroître les compétences en matière de santé mentale chez les entraîneurs, les enseignants et les leaders du sport communautaire, particulièrement ceux qui travaillent avec les communautés les plus touchées par la COVID-19.

L’objectif de ce projet est d’accroître les connaissances en matière de santé mentale chez les entraîneurs, les enseignants et les dirigeants communautaires travaillant avec les participants sportifs, y compris ceux des communautés éloignées, autochtones et économiquement défavorisées, ainsi que les nouveaux arrivants au Canada, les personnes handicapées et les membres des Forces armées canadiennes et leurs familles. L’Association canadienne des entraîneurs travaille avec un réseau d’organisations partenaires, y compris le Centre canadien de la santé mentale et du sport, pour aider les entraîneurs à travers le pays à accéder à l’éducation et aux ressources. Le projet permettra de mettre à jour et d’adapter le contenu dans les modules de formation en santé mentale existants pour ces communautés et de créer un Portail de ressources en ligne sur la santé mentale et le sport – une plateforme en ligne gratuite de ressources en santé mentale fournies par des experts en la matière. De nouvelles ressources seront ajoutées régulièrement et comprendront des modules d’apprentissage en ligne, des infographies, des activités, des documents de recherche, des vidéos et des ateliers sur divers sujets liés à la santé mentale. Avec ces différentes activités et le Portail de ressources, le projet devrait toucher jusqu’à 2 540 000 entraîneurs au Canada.

QUI
QUOI
COMMENT
OÙ
POURQUOI

Les entraîneurs de divers horizons, de tous les niveaux du sport, dans toutes les provinces et tous les territoires, particulièrement ceux qui se trouvent dans lieux/groupes suivants :

Les communautés éloignées/rurales;
Les communautés autochtones (quand et où elles sont les bienvenues);
Les communautés défavorisées sur le plan socio-économique;
Les communautés qui comptent de nouveaux arrivants;
Les écoles;
Les Services de bien-être et moral des Forces canadiennes.

Les enfants, les jeunes et les adultes qui participent à des activités sportives dans tout le pays, sous la supervision d’entraîneurs qualifiés.

Objectifs

Accroître les connaissances en matière de santé mentale chez les entraîneurs afin de les aider à offrir un meilleur soutien à leurs athlètes et à améliorer leur propre santé mentale.
Accroître le fonctionnement, la performance et la santé mentale des personnes qui interagissent fréquemment avec les entraîneurs (participants, personnel, proches, collègues, famille et amis).

Mettre à jour et adapter les modules de formation sur santé mentale existants pour les communautés qui seront ciblées.
Créer un carrefour de ressources en ligne sur la santé mentale et le sport – un portail gratuit de ressources en santé mentale fournies par des experts en la matière.
Promouvoir stratégiquement le contenu éducatif et le centre de ressources national auprès de publics nouveaux et diversifiés à travers le Canada.

Milieux

Communautés
En ligne
Écoles

Sites de mise en œuvre

National

Les clubs sportifs et les entraîneurs sont des structures sociales qui pourraient favoriser l’amélioration de la santé mentale des participants aux activités sportives, et des membres des communautés.
Plusieurs entraîneurs estiment qu’ils n’ont pas les connaissances et les compétences nécessaires en matière de santé mentale et de soutien.
Les ressources éducatives actuelles destinées aux entraîneurs doivent être mises à jour pour tenir compte des traumatismes, respecter les valeurs culturelles, et répondre aux besoins en matière de santé mentale des différents groupes.

Dans leurs mots

« Les entraîneurs représentent souvent un modèle ou une figure de confiance pour bon nombre de sportifs et d’athlètes, ils sont donc en mesure d’avoir un impact positif. Néanmoins, ils n’ont pas toujours la formation ou la confiance nécessaire pour discuter de santé mentale ou pour créer un environnement qui favorise une santé mentale positive ».